Syndicat de TOUS les fonctionnaires actifs et administratifs du ministère de l’intérieur ! 
Divisés, nous serons les jouets de l’administration et de la délinquance ! 
Rassemblés, avec le soutien de la Nation que nous servons, nous y gagnerons tous ! 



Déclaration du 26 août 1789 des droits de l'homme et du citoyen : 
Article 2 : (...) Les droits naturels et imprescriptibles de l'homme (...) sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.

Agents du ministère de l'intérieur, le syndicat de police R.P.N. sera toujours avec VOUS, à la pointe de la lutte contre les risques psychosociaux liés à votre emploi, la défense de vos droits et la mise en place d'une politique pénale répressive : 
- Rien ne semble capable d'endiguer la montée des risques psychosociaux au sein de notre ministère. Qu'il s'agisse de suicides, de dépressions, de "burn-out", nous sommes particulièrement exposés à ces maux ; que ce soit en raison de la nature de notre vocation qui nous fait côtoyer, jour après jour, toute la misère humaine, et/ou en raison du management, parfois inhumain, de notre hiérarchie. Récemment, un collègue que nous avons soutenu a eu 11 mois d'arrêt-maladie requalifiés en blessure en service par le tribunal administratif de Paris, sa dépression ayant été causée par une condamnation en conseil de discipline basée sur une enquête administrative partiale et sans preuve. Soyez sûr (e) s que NOUS SERONS TOUJOURS A VOS CÔTES pour vous protéger ! 
- La défense de vos droits est une priorité. Trop souvent, nous nous demandons pourquoi une mutation ou un avancement est accordé à un fonctionnaire. Pour redonner confiance dans la "justesse" de ses décisions, l’administration devra réaliser un écrit justifiant ses choix de mutation et d’avancement, y compris pour les mutations dans l'intérêt du service (article 25). Cet écrit pourra être consulté par tous les fonctionnaires qui le souhaitent. L'administration doit bien connaître les raisons de sa décision (ancienneté, notation, raison familiale, choix écrit et motivé du chef de service…) ! Donc, pourquoi ne le dit-elle pas si son choix est logique et qu'elle n'a rien à cacher ? 
- La mise en place d'une politique pénale répressive est la seule garantie que notre travail compte et que la que la Nation aura une chance de retrouver son droit naturel et imprescriptible à la sûreté, ! Cette politique pénale répressive sera basée sur des peines d'emprisonnement courtes dès le premier délit et sur la loi des "trois prises" selon laquelle toute personne condamnée à plusieurs reprises (trois fois en 10 ans pour les délits, deux fois en 30 ans pour les crimes) est automatiquement condamnée au maximum de la peine du dernier délit ou crime commis, sans aucune remise de peine, ou à la prison à vie. 

Rejoignez-nous et faites triompher VOS idées aux prochaines élections professionnelles !


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